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Le space cake… ce nom fait sourire, et parfois frissonner ! Ce gâteau au cannabis, à la fois moelleux et fondant, a conquis les amateurs de douceurs planantes depuis bien longtemps. Et bonne nouvelle : il est tout à fait possible de le préparer soi-même, à la maison, sans matériel de pro ni diplôme en chimie.
Mais attention, pas question d’improviser. Entre le choix des fleurs, le dosage du THC (ou du CBD), le temps de cuisson et la manière de consommer, chaque détail compte. Et on ne parle pas seulement de goût, mais aussi d’effets et de sécurité.
Dans cette recette ultra complète, vous allez découvrir comment réussir un space cake maison, gourmand, dosé avec justesse, et surtout : adapté à votre niveau. Que vous soyez plutôt version chill au CBD ou effet garanti avec THC, suivez le guide. C’est plus simple qu’il n’y paraît.
C’est la base de toute bonne recette de space cake. Le cannabis doit être incorporé dans un corps gras pour libérer ses principes actifs. On appelle cela l’extraction lipophile.
💡 Pour un bon équilibre : utilisez 10 à 20 g de fleurs séchées pour 250 g de beurre. Cela permet de répartir les effets sans prendre de risques.
Un space cake, ça reste un gâteau. Et un bon, si possible. Voici les ingrédients classiques :
Chaque ingrédient joue un rôle. Ne les négligez pas, surtout le sel, souvent oublié, qui fait ressortir le goût du chocolat.
Vous pouvez personnaliser votre cake avec :
Le but, c’est que ce gâteau soit bon même sans les effets. C’est le signe d’une recette bien pensée.
Le dosage, c’est la clé du plaisir ou du désastre. Un cake trop faiblement dosé n’aura aucun effet. Trop fort, il peut provoquer malaise, anxiété, voire paranoïa. On parle ici de milligrammes qui peuvent faire toute la différence.
Si vous utilisez 5 g de fleurs à 15 % de THC :
➡️ Adaptez selon votre tolérance, votre poids, et si vous êtes à jeun ou non.
Même méthode de calcul, mais les effets du CBD sont non psychoactifs.
Il favorise la détente, le sommeil, la récupération, sans “planer”. Le surdosage n’est pas dangereux, mais inutile : à partir de 50-100 mg, les effets n’augmentent pas proportionnellement.
Des outils en ligne ou même des apps dédiées permettent de calculer précisément vos dosages. Très utile pour éviter les excès.
Indispensable ! La décarboxylation active le THC (ou CBD) présent sous forme acide (THCA, CBDA). Sans cette étape, votre space cake n’aura aucun effet.
⚠️ Ouvrez une fenêtre. L’odeur est forte et persistante.
Ce beurre se conserve plusieurs jours au frais et peut être utilisé dans d’autres recettes salées ou sucrées.
La pâte doit être souple, lisse, un peu épaisse, mais pas sèche. Ajoutez un filet de lait si elle vous paraît trop compacte.
💡 Si le dessus colore trop vite, recouvrez d’un papier aluminium en cours de cuisson.
Le plus dur : attendre. Laissez reposer le gâteau au moins 2 heures, le temps que les arômes se stabilisent. L’idéal ? Une nuit au frigo.
Plus il repose, plus les effets sont équilibrés.
Le choix de la variété influence à la fois le goût et l’effet du space cake.
⚠️ Toujours choisir des fleurs séchées lentement, issues de culture légale et sans pesticides.
Contrairement à l’inhalation, les effets d’un space cake mettent du temps à apparaître.
30 minutes à 2 heures de montée, parfois plus, selon votre métabolisme.
➡️ Un seul mot d’ordre : commencez petit. Vous pourrez toujours en reprendre. L’inverse est plus compliqué…
Ajoutez 100 g de chocolat noir 70 %, une cuillère de café soluble et un peu de cannelle. Résultat : un gâteau riche, presque truffé, qui masque bien le goût végétal du cannabis.
Le moelleux est au rendez-vous, et aucun ingrédient d’origine animale.
Utilisez un mix de farines (riz + maïs ou sarrasin) et ajoutez une cuillère de gomme de guar pour maintenir la texture. Astuce : un peu de purée de banane aide à lier le tout.
Divisez la pâte dans des moules à muffins. Cuisson : 20 à 25 min à 170°C. Parfait pour contrôler les doses et éviter les excès.